vendredi 31 décembre 2004

Sand in my shoes (Dido)



Posted by Hello (c) Oitsuki & Andrea

Sous les pavés, la plage, et sous le sable ?

Sous le sable... la liberté. Un pas puis l'autre sans l'obstacle du bitume ou de la peur de la chute. Aux pieds, l'horizon s'étend vaste et désert. Plus la chaîne de l'autre ou de tiges bleues, juste soi et concentrer sa puissance, répéter les gestes appris et leur enchaînement avec la joie de les avoir réussis

Monde des possibles bercé par le flux et le reflux de la mer, musique infinie et primordiale, je suis et je ne suis pas, aller et retour, la pesanteur n'a pas d'emprise sur les mers fières et indépendantes. Et mes soucis n'ont plus court...
Marcher sur la plage, hanche, genoux haut, talon, pointe, bras qui balance; à gauche puis à droite, du premier au dernier doigt de pied. Chaque pas différent au gré de l'enfoncement, des dunes, des fantasies du vent ou de l'écumes des vagues.
Des milliers de grains come autant de jours de mon enfance sur les rondeurs de la pelouse verte où nous dévalions pour faire peur à Mamie, la course aux fraises des bois, la digue de Villers-sur-mer, marcher, tomber avec le sourir, se relever en imitant le chevalier servant. Aller là où l'envie nous porte sans demander son reste comme autant de demi tour et de lignes sur le sable, se perdre en mille chemins, s'entrecroiser pour les avoir tous choisis.
Indescriptble feeling of freedom, eo ergo sum

Joyeux nouvel an à tous!


Andrea wishes you a
HAPPY NEW YEAR 2005 ^_________^ Posted by Hello
A la suite des well-wishers bloggeuse et netteuse que sont miss 'Ry et miss Same, je me permets de souhaiter à qui errera sur ces pages noires une bonne année 2005 !
J'espère que celle-ci sera meilleure que 2004 et en confirmera les bonnes promesses tout en balayant les grises mines de 2004 et les voeux de chacun car vous méritez beaucoup de bonheur que ce soit aussi bien dans les bras de l'être aimé, que sur la page blanche d'un examen, les signes d'un feuillet, le bureau d'un éditeur ou le labyrinthe des stages!
Passez une bonne soirée de la Saint-Sylvestre en attendant de déboucher aux douze coups de minuit la bouteille de Champagne (ou Champomy selon les goûts! ^_______<).
Un immense merci à ceux qui ont été là à toute heure du jour et de le nuit ou à porter de clic ausi bien à Dublin que maintenant de retour à Paris. Vous avez été merveilleux! et vous m'avez beaucoup aidée dans les passes périlleuses qu'il m'arrive de traverser. Promis, next year, j'essairai de moins vous inquiétez! (première bonne résolution de l'année!)
2004, que faut-il en retenir ? Bilan mitigé et dichotomique comme miss. K. mais j'ai au moins beaucoup appris sur moi-même même si cet "apprentissage" est douloureux et augure des mois délicats (j'essairai d'être plus aimable et moins tyranique, d'arrondir ces angles dures que le stress a formé et dont je ne suis pas du tout fière, 2ème bonne résolution de l'année!).
Mais pour moi, ce sont surtout les 10 premiers mois! Beaucoup de bonheurs, de rêves réalisés, de rencontres avec VOUS, de concerts des Corrs, Dublin, DCU, Irlande, Irlande... le Figaro Magzine, des découvertes et des liens tissés qui je l'espère résisteront à la rentrée et cette admission à l'école même si en contrepartie c'est désormais l'épreuve du feu au quotidien.
Et pour ceux dont les étoiles ont récemment viré au bleu amer, puisse cette ère hivernale se dissiper comme neige au soleil et que vos ciels s'éclaircissent au plus vite.
Pour Marie, tu les réussiras ces exams et cette formation, no soucy :-) bonne chance, je pense bien à toi (même si je ne sais toujours pas quand c'est! secret well kept^^)

mercredi 29 décembre 2004

Et de deux

Après Isabelle, Nono.

Rendez-vous l'année prochaine si tout va bien.

En tout cas, je ne comprends toujours pas mais c'est Elsa qui pleure dans les îles et à la maison on est tous sonnés, vous étiez pourtant si bien à deux, tous les deux....

I've been wrong again, it seems ;-(

Coup de foudre irlandais

En ce moment se déversent dans mes tympans les decibels de U2 et en cette heure tardive (avant que je me fasse trop dépustée pour cette vélléité noctambule) je vibre au son de la basse de la piste 8. J'avais toujours considéré -à tort- U2 comme un groupe du passé dont le disque le plus écouté était son best-of 1980-1990 mais je dois me rendre à l'évidence, j'ai moi-même cedé aux sirènes du petit dernier "How to dismantle an atomic bomb" et la voix cassée de Bono (et comme je comprends que ce simple timbre soit un bourreau des coeurs!).

25.12.2004, je peux ajouter un nouvel hymne à ma collection de compagnons nocturnes et d'insomnie.

"You speak of signs and wonders
I need something other
I would believe if I was able
But I'm waiting on the crumbs from your table..."
U2, "Crumbs from your table"
Tu me couvres de promesses mais cela fait longtemps que je n'ai plus eu la force d'y croire et que j'ai embrassé mon athéisme et mon doute épistemologique d'antan en retour.
* *
*
Rendons à César ce qui appartient à Bono et ses comparses. Leur sens est bien plus vaste que le mien personnel!
"From the brightest star
Comes the blackest hole
You had so much to offer
Why did you offer your soul?
I was there for you baby
When you needed my help
Would you deny for others
What you demand for yourself?
Cool down mama, cool off
Cool down mama, cool off
You speak of signs and wonders
I need something other
I would believe if I was able
But I'm waiting on the crumbs from your table
You were pretty as a picture
It was all there to see
Then your face caught up with your psychology
With a mouth full of teeth
You ate all your friends
And you broke every heart thinking every heart mends
You speak of signs and wonders
But I need something other
I would believe if I was able
But I'm waiting on the crumbs from your table
Where you live should not decide
Whether you live or whether you die
Three to a bed
Sister Ann, she said
Dignity passes by
And you speak of signs and wonders
But I need something other
I would believe if I was able
I'm waiting on the crumbs from your table"
U2, "Crumbs from your table"
Ps: un album live ou traditionnel est annoncé pour les Corrs courant mars intitulé "Chansons irlandaises". Cela leur ferait le plus grand bien si ce n'est pas un effet d'annonce.
Pps: la dryade a reçu un bien joli appareil photo et le manie avec grâce... More soon, I hope! Obscurité, arbre, neige, lugeuses, magnifique!
Ppps: Andrea still lost in "Heaven", a place dear to her heart somewhere on the Web

mardi 28 décembre 2004

A piece of English wisdom

“The major lesson of life is that just when you think you’ve understood things, something happens to turn your understanding upside down.”
– Stephen Fry
Alors que décembre tire sa dernière révérence, son goût doux amère s'éternise sur ma langue... que de vérités abruptes et pleines de deception, découvertes ou soupçonnées, sorrows and joy mixed (et dans ces dernières, magnifique week-end normand, les responsables se reconnaîtront^_______^)... et en ce soir à nouveau une ligne m'alerte and I keep wondering...You're on my mind tonight.

jeudi 23 décembre 2004

Seine Wahl

There's still hope after all.
De noir la nuit se teinte de touches pastelles.

Il a compris, a réflechi et T'a choisi.

And that all that matters. I can leave the city releaved, you won't be alone.

Come what may, I believe in YOU (both) and in the strength of it.

"Oh, my love, it's a long way we've come
(...)
Of all the promises, is this one we could keep
Of all of the dreams, is this one still out of reach"
U2, "Hands that built America"

mardi 21 décembre 2004

A toi...

"Fill the empty find a rhyme
A brigther day a better time
But I'm wondering where I'm gone
Can't find the truth within my song"
A nouveau mes mains tremblantes effleurent le vieux clavier, encore mes pensées seront teintées de tristesse...
Mais en cette nuit, c'est à toi que je pense de toute mon âme, c'est pour toi que mon coeur pleure et saigne, je voudrais tant être à tes cotés et de prendre dans mes bras, briser ce noeud gordien qui désormais t'étrangle, trouver une réponse qui n'existe pas à tes tourments.
Dire quelque chose de digne, d'utile au lieu de mon silence, de mes phrases inarticulées, de mes "je ne sais pas"...
Mais tout ce que je peux faire c'est sangloter à tes pieds, espérant à chaque moment me réveiller de ce cauchemard, priant pour qu'Il ne l'est jamais connue, Elle, pour que ce remake de Jules et Jim ne t'arrive jamais, pour que tu n'aies pas eu à prendre cette décision, ce chantage qu'Il t'imposait puisqu' Il ne pouvait choisir, ce dilemne entre tes convictions profondes et cet amour sur lequel tu ne peux tirer un trait, tes rêves qui vascillent, cette angoisse qui désormais menace de te consumer à petit feu... Pourquoi cette épreuve supplémentaire toi qui en a déjà tant vécues?
Et toi tu dis que je suis comme ta soeur, que je suis toujours là quand tu en as besoin alors que je n'y peux rien, alors que je suis loin de toi...
Je voudrais tant que tu saches peu importe ta décision, tu es toujours la même à mes yeux, courageuse, généreuse, intelligente et belle...
Qu'il ne faut pas regretter ni avoir honte de l'avoir aimé, d'avoir construit ta vie pour lui et de l'aimer toujours malgré sa trahision...
Tonight my heart is breaking with yours
Ton "Jory" qui t'aime très fort

lundi 20 décembre 2004

Le cercle des poètes disparus


Fire And Ice
Robert Frost

(New Hampshire, 1923)

Some say the world will end in fire,
Some say in ice.
From what I've tasted of desire
I hold with those who favor fire.
But if it had to perish twice,
I think I know enough of hate
To say that for destruction ice
Is also great
And would suffice.

Madame le Ministre

Au milieu de tout désert, il y a quelque part une oasis même au creux d'une école de journalisme. Entre autre la joie suprême de se faire injurier au téléphone par les personnages héros de votre papier (les multiples lapins qu'ils vous posent ne sont qu'une mise en bouche).
Cette semaine fut apparément un cru formidable entre deux ruades de ces fameux coopérateurs du Poitou, vas-y que je te raccroche au nez ou que je t'explique que tu ne cherches à faire que tu faits divers quand tu fais une enquête sur la sociologie de l'entreprise et que tu es le futur deshonneur de ta profession tout en usurpant ta place à Sciences-Po.
C'est probablement le plus beau compliment que l'on puisse déposer à vos pieds à 11h du matin mais après enduré les gémonies de Michel Tauriac le 3 novembre sur mon absence de déontologie, I really don't care anymore. Peu de gens ayant la chance d'avoir une semaine et 40 euros à claquer dans les 1000 pages des mémoires de l'Amiral de Gaulle sur son auguste père, le Général...
Anyway, le vendredi réservé au journalisme politique a livré une de ses perles vendredi dernier.
L-E. V. s'était proposé de prendre les reines d'un article sur Mme Roselyne Bachelot. Scandal dans le landerneau politique: voici qu'une fidèle de Chirac ulcérée par on éviction du gouvernement et son départ conséquent du ministère de l'environnement et rendue amère par son absence de placard doré (tout le monde ne peut avoir la chance de Luc Ferry au Conseil Economique et Social!) apportait avec enthousiasme son soutien à ce traitre de Sarkozy !
L'incongruité de tels propos ne s'arrêtent pas là. Comment se faisait-il que R.B ne recoive pas juste récompense de son retournement d'alliance et que le p'tit Nicolas comme le grand Jacques lui laissent les mains vides ?
Muni d'un précieux sésame alias le numéro de portable que notre très bonne fée Mme le professeur (v., v. good and clever) nous distribue, L-E. V. part vaillament à la pèche.
Il appelle, Roselyne Bachelot explique qu'elle est en réunion et qu'elle le rappellera aussitôt que possible. Quelques minutes plus tard, c'est chose faîte. Les choses se gâtent lorsqu'elle apprend qu'il est étudiant en journalisme.
"-Comment avez vous eu mon numéro ?"
L-E. V. refuse de révéler la source pour ne pas embarasser notre professeur.
"-Mais jeune homme vous êtes d'une impolitesse et insolence extrème, pour qui vous prenez vous? franchement les journalistes et les medias sont insupportables et incompétents, ils ne comprennent rien à la politique"
L-E. V. s'accroche et propose de la rencontrer pour ne pas lui faire perdre son temps, à l'assemblée ou dans un café
"-Et pourquoi pas chez moi ou dans mon lit pendant que vous y êtes? Comment pouvez traiter aussi une politique de mon acabit (sic) ?, demain je change de numéro de portable, vous n'avez pas honte de me déranger!"
No comment... (et on s'étonne du soupçon d'égoïsme et d'égocentrisme qui pèse sur un bon nombre des membres de la classe politique française...).
Oh si l'angle du sujet a été revu et corrigé: l'attitude des politiques face au journalisme :-) et le professeur avait du mal à cacher la lueur dansante de ses yeux. Pour la petite histoire, Mme R.B lui envoie souvent des textos, et la prochaine fois qu'elle la verra elle ne manquera pas de lui dire "Alors, comme ça on rudoit un de mes élèves?"

On connaît la chanson

First and foremost, je suis apaisée.
Puisque la dernière entrée appelle conclusion à défaut d'explication de texte...all comes in its time and I'm not ready yet although all have been said and done, I'm free and released of all this burden. Pour le futur: advienne que pourra. La balle n'est plus dans mon camp désormais. I've happily given all that I could and now it's up to you to use it whatever way you choose it.
For now, I bow out of this [mind] game, out of this "strange relationship" ;-) comme le chantait de sa voix de sacharinne Darren Hayes chanson qui a longtemps hanté mes pas alors que l'année 2003 brillait de ses derniers feux (vive la pop guimauve qui dégouline des ondes anglo-irlandaises! voire même grecques!). Une page se tourne, quelques chapitres restent à écrire avant que l'épilogue ne soit rédigé qu'il soit digne d'Emily Brontë ou de Jane Austen.

I know I'll be fine in the end. And you'll be too. ^_______^


Titre: Would You be Happier? Artiste: The Corrs

Have you ever wondered where the story ends
And how it all began, I do - I do, I do -
Do you ever feel you're some else inside
And no one understands, You are - you are -

And then you stumble on tomorrow
And trip over today,

Would you be happier if you weren't so untogether
Would sun shine brighter if you played a bigger part
Would you be wonderful if it wasn't for the weather
You're gonna be just fine - You're gonna be just fine -

Are you not afraid to tell your story now
But everyone has gone, it's too late - it's too late, it's too late -
Why is everything you've ever said or done
Not the way you planned, mistake
And so you promise that tomorrow

Be different than today

Would we be happier if we weren't so untogether

Would sun shine brighter if we played a bigger part
Would we be wonderful if it wasn't for the weather
I think we're gonna be just fine - we're gonna be just fine -

You're racing for tomorrow, not finished with today

I think you're gonna be just fine- don't worry baby -,
you're gonna be just fine-
don't worry honey -, you're gonna be just fine-
don't worry baby -, you're gonna be just fine

vendredi 17 décembre 2004

Métamorphose

All In A Day
Auteur : The Corrs - Albums : In Blue

All in a day she
saw the face in the mirror lie
To her dismay she saw the child that was in
her die
And she cried overnight
'Cos what she sees she doesn't
like

I'm twisting (twisting)
I'm turning (turning)
I'm aching
(aching)
And it's burning
In one day
In one day

Just let
me flow, just let me drift on by (drift on by)
No more, no more pain,
I don't have tears to cry (tears to cry)
I'm twisting (twisting)

I'm turning
(turning)
I'm aching (aching)
And it's burning
In one day
In one
day

I'm twisting
I'm turning
In one day
In one day (In one
day)
In one day
In one day (In one day)
Yeah In one
day

Just in one day...
...it takes me this

Adequate descroption of a draining feeling... Ok it's a bit depressing train of thoughts but right now I'm on a crossroad again and very perplexed. I need all these tiny truths of Saturday to sink in - I've been wrong most of the time-, to let go of my anger but it still there burning deep inside, and a little time to come to terms with what I'm becoming and pray that you'll eventually manage to understand me because I fear you won't in the end.


Longue nuit

Sous mes doigts voudraient se glisser de nombreux mots mais ces mêmes doigts sentent le poids de ces longs mois et indiciplinés frappent les mauvaises touches pendant que mon esprit s'amuse à jouer au scrabble avec les lettres de la langue française et anglaise...
La main gauche, je crois, désirerait tracer quelques mots tranchants et à l'écorce rèche, crever cet abcès d'amerturme purulent quelquesoit la fin (à l'amour comme à la guerre) tandis que sa voisine de droite voudrait tracer les bonheurs que la semaine a glissé sous ma porte...
A chaque seconde, les yeux se closent, l'esprit s'échevèle dans le lointain... les regrets, les coups de poignards, les diables en boite qui m'attendront tout sourire à la rentrée portant le nom de Genestar, militant PS, allemand ou anglais (las, las...) se mèlent aux rires, aux chansons latinos débiles, à la ligne 6 à minuit jouant les gardes du corps, à une soirée d'épouvante japonaise (immense merci à Peg you're wonderful), à la salsa "fabiennesque", à cette épiphanie qui me remplie de joie -glisser mon regard sur ces lignes que tu scupltes telle une orphèvre, jolie Karo...et des parfums irlandais, effluves de liberté, me sont revenus...et je me suis si bien ennivrée que demain matin mission siège de l'UMP en reportage des aventures des nouveaux encartés de l'UMP: réussiront-ils à serrer la paluche de messire Sarkozy, y-a-t-il encore un Chiraquien dans la salle?
Last but no least...will I have the nerves to do it ?
...et que je n'ai pas résisté à l'appel de Mylène Farmer, le 13 janvier 2006 Jory retrouve son dear Fafa ^______^, il est vraiment temps que je me calme et hiberne, la fatigue et la nervosité me font faire les gestes les plus inconsidérés!
Good luck à toi, camarade, même si tu ne m'entendras pas te le hurler anyway ^__________^allez, demain, à nous les vacances :-) Tu vas le bouffer ce galop de droit! car tu es le Zuper Z'Hubert ^^ et Braud ne te resistera pas Marie-Lise ^___<

samedi 4 décembre 2004

Mon idée de la perfection photogénique ^_______^



Somewhere in Saint Mary College dans le Maryland, automne 2003
Crédit photo: Hubert Goure :-)
Après en avoir battu les oreilles de nombreuses personnes dont l'intéréssé lui même ( and by the way it was really a nice gift *__*), je finis encore une fois par ressortir ce cliché de mes archives.
Le post de Xav et son projet de faire de la photo qui est partagé par d'autres very nice people a ravivé en moi son souvenir... Peut-être parce que son auteur est le premier à avoir caressé cette ambition, celle de se muer en photographe, en Cartier Bresson de la vie.
Cette photographie m'a toujours fasciné avec ces contrastes noir et blanc mais en la regardant, j'entend le crissement de la neige et le chuintement lent de l'eau qui se glace, avec pour seul témoin de ce déclin, le bois mort et la berge déserte.
Ces sentiments font écho à ce que je pense du travail de M. Goure... dont les photos en noir et blanc ont toujours un "eerie feeling to them", que ce soit les premiers travaux dans le jardin du Luxembourg en 2002 ou tes souvenirs de Budapest et d'Amsterdam. Et comme je regrette de ne pas être en possession de tes clichés à toi alors que tu marchais sur cette terrasse où nous nous étions désaltérés ou quand tu réinventais le mythe littéraire du "Hussard sur le toit" ou ton tendre regard sur les pavées de la vieille ville...
Je sais qu'à force de poster des photos ou même ce message, je déssert la portée de ce blog mais en ce jour l'envie a été un peu plus forte. Je me suis mise à fouiller dans mes archives que j'ai ramenées d'Irlande et sur certaines blanches à nouveau la beauté sauvage du Connemara ou la tranquilité du Kerry m'a frappée, non parce que les clichés étaient forcment réussi mais parce qu'en eux j'e retrouvais mon émerveillement devant ces paysages désolés, lunaires ou au contraire luxuriant de verdure.
Je sais qu'à l'époque, j'avais eu l'intention de les transmettre mais finalement devant l'ampleur de la tâche et des mégabytes j'y avais renoncé. Mais aujourd'hui devant cette journée chômée et blanche -impossible de me mettre au travail ç_____ç- ce désir m'a repris... Alors, je me tâte, j'hésite devant ce vaniteux projet et ce d'autant plus que mes dernières promenades l'appareil à la main n'ont pas forcément été des plus concluantes...du moins je n'y ai jamais trouvé l'étincelle irlandaise que j'avais tant aimée.
Posted by Hello

On the road again, again...



Crossroads...
J'avais été attirée par le contraste entre ces trois moyens de locomotions, trois mondes se frôlant sans jamais se toucher vers une course sans vainqueurs ... 2000, 1950, 1920..., futur, présent, passé.Posted by Hello

Carnets de voyage roumains...

...au gré d'un voyage chez le developpeur. En commençant à rebours, peut-être pour en arriver au début, one day, maybe...



Aux champs...vision et paisible et mélancolique des campagnes, si détonnante pour nos yeux de "Wessis" Posted by Hello

vendredi 3 décembre 2004

And I had runaway...


Quelque part sur la route reliant Constanza à Bucarest, 11 août 2004.

Tchou-tchou roumain dans les belles montagnes bleues sur mers vertes...prendre la clé des champs et se souvenir que l'on a été aussi libre que l'air, la route infinie devant soit pour seul guide de nos pas, plonger dans un autre temps, une autre Histoire, la leur, si belle, terrible et violente et si fascinante, Transylvanie, Moldavie, Constanza...et à quelques encablures, la Sublime Porte, Ô cherished memories, montagnes de l'Anatolie!, au bleu si pâle teintant le ciel de ses nuages... Posted by Hello

vendredi 26 novembre 2004

How to dismantle an atomic bomb ?

"Lining up for the grand illusion
No answers for no questions asked
Lining up for the execution
Without knowing why
They suck us dry till there’s nothing left
(...)
We’ve never been so many
And we've never been so alone..."
~Ana Johnsson, "We are", Spiderman II OST
Usually I'ld make an effort, just calm myself but tonight I just want to release all the angst accumulated since the beginning of the week...
Maybe seeing you did me much good, also having had the other member of the gang on the phone was soothing...
But, my God, what a hell of a week... and to top it I'm sick again ;-(
Monday was terrible but it was to be expected, the piece about the US elections was just a piece of s**t, but at last I had the possibility to do it all over again, again one useless battle...et bien sûr cette séance de "lapidation publique" de l'implacable trio nouvellement formé (comprenez moi bien ils sont très compétents dans leur métier et très gentils off work et nous proposent pot sur pot mais la pédagogie est vraiment à revoir, je ne sais pas EL, PED, PM et MR ne me font pas du tout le même effet), le troisième laron qui impose sa vision des choses sans consultation et patatra, les deux autres emboitent le pas et opinent du chef changeant une énième fois leurs consignes en enfonçant encore davantage "non, vous n'avez compris ce que nous voulions", "il manquait l'essentiel" ou gardant prudemment le silence là où une nuance aurait peut-être été la bienvenue et Fabienne crying a river, too much pression, too much emotions at the tribunal, too much work, all these boiling up inside...et surtout que d'injustice, d'acharnement, c'en était écoeurant, can you not leave her in peace ? Pétages de plomb en série, un, deux, trois... Chapeau bas à JCL pour toute son humanité, great therapy :-) Comme disait la miss américaine, pour l'instant c'est une véritable leçon de doute épistémologique que l'on nous apprend, se vider de sa confiance et se prendre coup sur coup, comment ne pas penser que "I'll never be good enough" ? de temps un temps un rayon de soleil mais aussitôt le blizzard de l'hiver indien.
Also angry at myself for the big mess up on Wednesday in Radio, how stupid and thoughtless of me, I bloody know where the problem is but it never changes, it's a relapse -_______-
Sadness over something, which was so dear to me and has dissapeared... I understand the move, if you was not happy with it but I can't help myself feeling down about it. Could I not have done something to prevent it ? Could I not have behaved better ? and if ever you read my words, please don't be angry, you know...You mean so much to me and all that you do also, it was pure heaven, when I was walking in your paradise. This is not a reproach, this is pure nostalgia (and god only knows how much I love the past ^^;)
Bitterness over a certain gig and a certain recording of DVD. At one point, I was tempted to go over thre but it would have been pure madness...
And now I have try to survive the week-end and next week, I'm not sure I have taken the right path, I should be working and probably I won't get the books I need but again I don't really seem to care, j'ai appuyé sur la pédale et je fonce, devenir le terminator des signes, regarder les rais de lumière des néons du tunnel et un nouveau problème brûlant, stage, stage, stage... cheval égoïste dans la course mais l'épéron dans le flanc, comment arréter l'échappée sauvage dans ce monde isolé et sectaire réservé aux initiés malgré eux (non que je n'en ai jamais été fière), I really don't deserve all this patience and as she says, when it'll be gone, I will be regretful. The wait will not be eternal because this time you're doing all the work and I none of it.
My hands are tied, my lips dry and my mind a vast silence, nothing left to say or feel, how can we speak of something we run away from when it is temporarely over? I'm not sure you can understand, but a revival of the day is painful, a lie is painful, Quomodo vales ? there is no answer for that, if it is not overlacrimal thoughts as it is written down here. But for now, I'm not in the mood to be strong or virtuous, I just want to be me, drifting without having someone telling me I have to be brave, that I must not complain because I chose it, I desired it but since when what I want is what makes me peaceful ?
Also some smiles and there I should thank Cécile, Kim, Marine, Sarah *_______*, Sylviane, Gallagher, Fabienne (the return of the jedi ? ugh ?^^) I think they must ask themselves some question over our sanities, it was absolutely not discreet! shame, shame, shame!!!!
I better go to sleep now, I must wake up early -_________-
Oh well I should also say that I'm very proud of you to do all these stuffs, to try your hand at other things, to work really hard (we'll just have to pray it'll work ^^) to affect a calm exterior ;-) I know that's not easy for you but well it is a ten out of ten :-)

vendredi 19 novembre 2004

Sparring partner...

E un macaco senza storià, dice lei di lui
Che gli manca la memoria, in fondo ai guanti bui ...
Ma il suo sguardo è una veranda, tempo a tempo e lo vedrai
Che si addentra nella giunglia.
No, non incontrarlo mai ...
Ho guardato in fondo al gioco,
Tutto qui, ma sai ...
Sono un vecchio sparring partner, e non ho visto mai
Una calmia più tigrata, più segreta di cosi
Prendi il primo pullman via, tutto il resto è gia poesià ...
Avrà più di quarant'anni, e certi applausi ormai,
son dovuti per amore, no, non incontrarlo mai ...
Stava li nel suo soriso,a guardar passare il tram,
Vecchia pista da elefanti, stessa sopra al macadam ....
(~ "Sparring Partner" by Paolo Conte)
Just for the fun the translation, hélas mot à mot donc inintelligible qui fait peu honneur au génie surréaliste du Monsieur, crooner italien à la "Luis Sepulveda"^__^ (oh même si logiquement, c'est chronologiquement le contraire!^^)
Cest un macaque sans histoire
elle dit de lui qu'il lui manque la mémoire au fond de combien de ténèbres
mais son regard est une véranda
le temps au temps et tu le verras qui se trouve dans la jungle
non, ne le rencontre jamais.
J'ai regardé au fond du jeu tout est ici ?
mais tu sais je suis un vieux sparring partner
et je n'ai jamais vu un calme plus tigré plus secret que ça
je prend la première navette (le premier bus), loin (je pars) tout le reste est déjà poésie
Il aura plus de 40 ans
et certains applaudissements désormais
sont devenus amour ne le rencontre jamais
il était là avec son sourire à regarder passer les trams
vieille piste faites par les éléphants sur le macadam ....

Quelquefois la musique pénètre au coeur de l'âme et ses substitue à ses maux/mots que la conscience a renoncer depuis longtemps à prononcer, ultime déchéance... alors une chanson comme une âme soeur...
J'en croise parfois, et aux fil de l'écume des jours lentement se tisse "my private and personal setlist" aux accents irlandais que ce soit de Dublin ou Dundalk, l'ombre farmerienne, la complainte de Dido, les expériences madonienne, les amares d'Amsterdam de Coldplay, la voix féline de Damien Rice, le piano de Jane Campion, le mysticisme McLahanien, les jeux d'enfants de Tori, les emprunts et les dons de deux jeunes filles Mr Manson, Muse, Placebo ou Björk, Shawn Colvin de toi si loin et qui doit m'en vouloir terriblement...
Et ce soir a surgit une nouvelle envouteuse, petite mélodie tapie au creux de ma mémoire, reliquat d'une soirée dans les salles obscures à réciter sa table de 5 et de 2. Du film en lui même, une impression trouble, fascination étrangère pour un objet cinématographique pas forcément maitrisé mais une histoire à dérouler (sur le même postulat, je pense que "Eternal Sunshine of the Spotless Mind a fait beaucoup mieux), à renbobiner pour retomber sous le charme de ces premiers instants sortie de la légende du premier pas, première croisée, première voix où dans une même seconde tous les possibles, le mythe de pouvoir choisir ce chemin plutôt que cet autre. Et lorsque "the end" apparaît, ce point final n'en était pas un, la capitale était devant eux, pour le spectateur la volonté de croire à un autre roman, un autre conte qui ne faisait que commencer...l'éternel retour et recommencement des vagues, flux et reflux...
...les clapotis du piano, the steady beat of the guitar, la voix rauque du poète moqueur qui dit "il était une fois", les nappes des touches d'ivoire, éternelle monotonie de l'histoire qui se répète, du temps qui s'écoule, de ce flot qui emporte dans une danse languissante crépusculaire, pénombre dans la pièce, verre à la main... Le tourbillon doux des murmures du souvenir...
En ce moment, je me laisse aussi gagner par ce commandement impétueux, plus besoin de mots trop fatiguants à former et à rouler dans sa bouche, la parole silencieuse...non la douce obscurité de ce ciel parisien qui vire au rose avant de sombrer dans le bleu pastel puis canard de l'hiver égaillé et émaillé des lumières de la ville que la Seine charie de pont en pont... Et aujourd'hui comme hier je regarde le courant : et entre cette année 2002 à tatons et celle de 2004 sismique y-a-t-il une différence?
Est-ce la même eau sous les arches..., no I don't think so. As Héraclite says «Dans les mêmes fleuves nous entrons et nous n'entrons pas./Nous sommes et nous ne sommes pas» , alias «On ne se baigne jamais deux fois dans la même eau.» Too many things have changed, have happened, I know it may not be as hopeless than I used to believe...
Lorsque les yeux se closent et que les accords emplissent l'air, je regarde ces images défiler avec le sourire, le regard vitreux et ailleurs, entrainée dans une toute autre valse ou aube et nuit se mélange, lisière fine où le souffle de la flûte de Pan s'éffiloche au loin pour mieux s'évanouir ou reprendre...?
Et les échos de moments figés de reprendre vie sous les coups de butoir amusés du hasard...
Another place, another time,
Les dalles du Topkapi, le rivage et le bateau rouge échoué, les montagnes aux pieds marins, never ending chatting, fits of laughter, mad dashes, ces concilliabules d'archivistes...
Tour, baie vitrée, Seine, lumières étoilées, homecoming, smiles, speeches of archievists
New York, Paris peut-être
No oblivion but kindness in the end
But my guess was the good one ;-)
Shared memories of sparring
Stefan Zweig ?
* *
*
Autre écho...
Happy that this phone call clears up things for me...
A toi que j'ai considéré comme frère d'armes, my first sparring partner and in some way you are still, tu les connais ces élancements aussi and I'm not afraid to write them down for you even if it is too much brooding for your own good^^. The ties are loosened, a fleating memory is soon to fade... à toi que j'ai découvert par la grâce d'un automne alors qu'un autre voit nos routes diverger désormais sans que la dernière estocade ait été portée...Juste un merci, il n'y avait que toi qui n'y croyait pas mais tu l'avais sous les yeux cet autre "sparring partner", Jean is the man :p

samedi 6 novembre 2004

"It has been a long time...

...since we have talked..."

~Andrea Corr (WCID)

What can I say? words like minutes elude me... Time goes by but I don't see it.

Non que je me sois déjà lassée de cette aventure "blogistique"...bien au contraire, il m'est souvent venu à l'esprit une ou deux phrases qui auraient pu être consignées mais d'autres lignes occuppaient et térrifiaient mon esprit.

Le paradoxe est là: maintenant que j'ai l'occasion et surtout le devoir d'éléver l'écriture à un art de vivre, je n'ai jamais plus de mal à faire quelque chose de mes dix doigts. Exprimer ses pensées est devenu un exercice des plus périeux and when daytime is over, there is no more ink left in the bottle, no more sound in my mouth...

Cette année encore je m'étais dit que je ne me laisserai pas prendre au piège du canibalisme de l'ogre science-poien mais tel est pris qui croyait prendre. ^^; le monde extérieur m'apparaît un continent vivant au rhytme d'un fuseau horaire mystérieux...

Far away (so close!)... comme disait Bono but your memories are not fading and through this ominious silence, I'm thinking of all of you, trying to decipher all the signs you leave in your wake... Anyway, je ne vous oublie surtout pas et je vous embrasse bien fort ^___^en vous demandant une certaine indulgence concernant le style bourrin qui vous écorche les yeux!


dimanche 24 octobre 2004

Juste un essai pour voir ^^;

Let we get started :p

A vrai dire, je ne sais pas si cette expérience ira au delà du passe-droit qu'elle me donne pour aller polluer certains livres d'or ^^;;;; mais laissons nous tenter par la curiosité de toucher le concept du blog dont on fait grand cas de Libé à DSK en passant par les pratiquants du COL et la jolie initiative de miss 'Ry qui a sûrement trouvé là un moyen de sortir de ma létargie: prenons nous un peu d'initiative, suivons la jolie dryade qui de sa torche éclairée indique et pousse au chemin.

Au delà, de ce post sans inspiration d'entrée en matière, je ne sais pas, mes instants conservateurs me pousserait encore à envisager une lunatique et solitaire page web même si celle-ci existe déjà sous une forme qui me convient très bien pour ma production annuelle, we'll see, only time, who is ominiously flowing, will tell...

Depending of my will to transform this place in a diary or in something else. But to confide in everybody and nobody is to strip oneself nacked but it is also a very good place to speak (selfish) nonsense, tempting...

To conclude, here is an amusing contribution of yahoo.fr (c'était le jour ou pas de se lancer il faut croire!)


'Drea!

samedi 23 octobre 2004, 10h39
Tenir à jour son blog
PARIS, 23 oct 2004 (AFP) - Les blogs, une nouvelle génération de sites personnels sur internet, fleurissent désormais en Europe après être devenus populaires depuis des mois aux Etats-Unis, et vont se multiplier avec les nouvelles technologies permettant d'enrichir son journal internet directement depuis un téléphone portable.
L'équipementier finlandais Nokia a en effet présenté vendredi à Paris, en avance sur les autres fabricants de téléphones portables, ses technologies permettant de rajouter textes et photos sur un blog depuis un portable, sans passer par un ordinateur.
Les blogs, abréviation de weblogs, sont ces sites web proposant un journal en ligne, qui, grâce à leur facilité d'usage, sont devenus ces derniers mois un phénomène majeur d'internet. Supplantant progressivement plusieurs outils d'échange sur internet, comme webmail, les blogs commencent à peine à déferler en Europe.
En France, on compte actuellement 7 à 800.000 blogs. La firme spécialisée Technorati estime que 12.000 nouveaux blogs sont créés chaque jour dans le monde, soit un toutes les sept secondes. On recense actuellement environ quatre millions de sites personnels sous forme de blog dans le monde.
La facilité de création d'un blog a permis que le phénomène touche toutes les couches de la population, y compris celles qui se méfient ou sont effrayées par la technologie.
Ainsi, après les journaux en ligne envoyés par des témoins en Irak ou les milliers de sites perso commentant aux Etats-Unis les positions des candidats Bush et Kerry, les blogs des adolescents se mêlent aujourd'hui aux carnets de bord de journalistes du Monde ou à celui de Dominique Strauss-Kahn. Avec à chaque fois des fenêtres commentaires, permettant d'accueillir les réactions des internautes à chaque nouveau message.
réticence des entreprises
Le nombre d'articles mis en ligne varie fortement avec l'actualité. En ce mois d'octobre, selon les études de la société Sifry, plus de 400.000 nouveaux posts (notes) sont publiés certains jours, soit 4,6 posts par seconde.
Les entreprises également commencent à saisir le potentiel des blogs, qui peuvent devenir un puissant outil de travail facilitant la collaboration. Aux Etats-Unis, Microsoft, Dell, Sun et des milliers d'autres groupes éditent au total plusieurs milliers de journaux. Par exemple, dans le cadre de projets internationaux, le blog permet de fédérer et suivre l'avancement d'équipes dispersées aux quatre coins du monde, et de partager leur savoir.
En France cependant, plusieurs directeurs des ressources humaines ont témoigné récemment de la réticence des entreprises devant un outil permettant à chacun de s'exprimer librement.
Jusqu'à présent, pour rajouter sur un blog un élément, qu'il soit photo, vidéo, texte ou morceaux de musique, il fallait passer par un ordinateur connecté à internet. Nokia a présenté, sous le nom de Lifeblog, ses solutions permettant d'écrire une note ou d'envoyer une photo par courrier électronique à partir d'un téléphone portable.
Ces solutions utilisent les services d'un site spécialisé dans l'édition des blogs, Six Apart, dont le logiciel TypePad est déjà utilisé par Neuf Télécom et d'autres grands groupes français. Six Apart négocie actuellement des accords avec des opérateurs de téléphonie mobile, a indiqué son directeur marketing Loïc Le Meur.


vendredi 30 juillet 2004

Notice provisoire : le mois de juillet tel que vous auriez du le voir!

MAJ 5 août : Mise à jour des commentaires laissés en vrac cette semaine pour cause de déménagement adaptation à Marianne et ménage sur Lunasa.
L'aventure rédactionnelle marocaine touche enfin à sa fin. Pour des raisons de lisibilité (afin que tous les posts soient sur la même page), les dix épisodes sont archivés au mois de juin . Encore un grand merci à ceux qui l'ont suivi et m'ont encouragé à ne pas la laisser en suspens!
Je peux enfin tacher de réorganiser ce blog d'une manière chronologique et rationelle. Ultimement Lost remonte donc au 29 juillet ainsi que de nombreuses entrées du mois de juin! Trois ou quatre entrées devraient s'intercaler au mois de juillet. Idéalement j'aurai rattrapé mon retard d'ici la semaine prochaine. Par avance je m'excuse de cette faille spatio-temporelle.
Pour que vous puissiez profiter de ces mises à jour chaotiques, elles seront indiquées ici.
MAJ 1er août : tentative d'un historique des titres joués par radioblog dans le post 'Notification musicale'
MAJ 30 juillet : Maroc (10) et Lost + remontage du foot (ajout d'une photo, comme on n'a pas gagné, je ne vais quand même pas y consacrer un post en entier!, pas maso je suis^^) et de Henry VIII.

mardi 13 juillet 2004

Puisque plus personne ne devrait se riquer à lire, j'y go^^

Que dire de ce samedi sinon qu'il faut un des meilleurs jours de ces dernières années ^______^, signe de clémence des Hautes Sphères, il commenca par un ch'tit déjeuner bien trop court ç_ç avec 4 personnes dont je suis aussi "fan" que les Corrs ;-)
Ensuite retour au Bercail pour préparation des munitions... Cette fois pas de droit à l'erreur comme mes deux campagnes précédentes en 99 et 2000. Tout d'abord les vivres légères avec une énorme bouteille d'eau car communier avec 10 000 personnes ça augmentent rudement la température ^^;;, préparation des ticjkets et vérification histoire de ne pas avoir pris ceux de Bercy ^^;;; puis révisions pour le p'tit novice qui m'accompagnait à sa demande (m'enfin c'était 'achement utile parce que mes feuilles tu étais prêt à les balancer dans le caniveau^^) et préparation du matériel technique : appareil photo, et magnéto et K7 audio (vi je suis pas encore à la pointe de la technologie^^;) sans compter la veste multi-poches pour passer tout ça sous le manteau (littéralement!^^).
Ensuite direction le café de la musique pour se réunir avec deux autres complices, 15min puis 30 passent ce qui nous laisse le temps à Albi et moi d'apprendre par coeur la carte et ses prix exhorbitant car même un Coca Cola crux 2004 valait 5€, rahlala si même près du périphérique on se met à pratiquer les prix de St Germain où allons nous?^^;
Au bout d'une heure et afin d'éviter l'expulsion de la part du patron on commande, le temps pour moi de reconnaître vaguement les pontifs du forum francophones des Corrs mais j'ai préféré ne pas les aborder de peur d'alpaguer un inconnu en lui disdant "ah c'est toi la fameuse Jessica 2001 ?" ^^;
Au bout d'une heure, tout le petit groupe est au complet, après une rapide séance de papotage il est déjà 18h40 le temps de lever le camp! direction le Zenuith à une bonne quinzaine de minutes parce qu'on rigolait tout le temps ^___^
Arriver là moment de confusion devant la longueur de la queue et aussi d'angoisse parce que je crains d'une part de me faire bousculer au moment où les portes seront ouverte et oùles fauves de la fosse s'élanceront dans la fosse!^^
Heureusement, il y a une p'tite file inusitée tenu par un gentil m'sieur qui nous fera gagné beaucoup de temps même si cela nous privera de la vue des oeuvres d'art des dits forumiens francophones (graffitis sur les barrières et déclarations d'amour sur les arbres^^) qui pour l'occasion avant tendu la main à un second forum pour concocter une feuille de route démoniaque qui m'avait énormément laissée perplexe puisque l'objectif à atteindre "dépasser le 4 novembre 2000" me paraissait impossible (debout sur tout le concert déjà!).
Après qques minutes de discussions, il nous fait rentré en me fouillant plus que modestement et ce n'est plus tard que je réaliserai ma chance puisque la plupart des habitants de la fosse sauf un p'tit malin qui maquillera son appareil photo en sandwhich seront victimes de fouilles approfondies et sévères confiscations.
Premier pb, nos quatre tickets ne sont pas à côte comme l'a dit Albi et il plus qu'improbable que nous délogions un couple dans le premier rang...mais pendant une bonne heure l'espoir est permis puisque le Zénith se remplit trèèèèès lentement! Finalement Olivia insistera pour qu'on prenne le premier rang puisqu'elle a l'attention à la première chanson qui bouge de se défoncer dans la fosse, so be it! (et thanks a million par la même!)
A notre grande surprise au bout d'une demi-heure à peine la première partie commence. C'est une Renée Olstead, protégée de David Foster premier producteur et découvreur des Corrs qui l'anime. Tendance Jazz/Blues entre Mariah Carrey pour la voix et Norah Jones pour le style et tout ça à 15 ans. Avec David Gray (responsable de celle de 2000!) une des meilleures premières parties! Rien à voir avec le supplice que fut Dublin quinze jours auparavant où la fille de Ronny Wood (ouep ben le talent des Rollings Stones n'est pas héréditaire!) Leah a supplicié les oreilles du public avec ses miaulements digne d'un chat (et pourtant I'm a cat lover...). Les rangs de devant se dégourdissent les mains et n'hésitent pas à applaudir ce qui est rare :-)
Puis à l'impatience générale les lumière se rallume et comment le mystérieux ballet des techniciens des Corrs mettant en place leurs instruments, les essayeurs de batteries donne le coup d'envoi des festivités dans le premier rang qui lance coup sur coup des olas. Si le mouvement met du temps à se répandre dans les rangs de la fosse limitrophes des gradants, au bout de qques essais mission réussie! et comme l'a dit Albi, lorsque la Ola montait dans les gradins, c'était vachement sympa on se faisait applaudir à tout rompre par la fosse!^^
Changement d'exercice ensuite, séance d'applaudissements des pieds et des mains de la part du public puis entonnage de chang de guerre "Corrs, Corrs" ou "Andrea, Andrea!" -remarque après on se plaint qu'elle est la grosse tête!^^)... Un timide laché de ballons au couleurs irlandaises se fait tandis que qques drapeaux font leurs apparitions, les barrières se couvrent (je l'apprendrai plus tard) de trois drapeaux où sont inscrites les lettres du prénoms "Sharon".
Première fausse alerte qui met la salle en furie, la musique d'ambiance s'arrète (d'ailleurs elle était très bien juste ce que j'aime de la musique triste quand vous êtes triste^^;)... Sifflets, "Oooo, oooO, ooooO", olas, clappement de mains, début de chantage de Runaway (les fans voulaient montrer aux Corrs qu'ils ne pourraient pas chanter Runaway!^^)... Ma gorge se noue...
Puis extinction des lumières, hurlements de joie, les pieds vibrent et les premières mesures de Baby Be Brave résonnent, la foule accompagne en synchrone des mains, les hurlements et le crépitements des flashs indiquent que le groupe s'est mis en place... Le bruit venant du public est tellement assourdissant que je n'entends même pas les premières secondes de cette bande enregistrée qui nous plonge dans que les Corrs peuvent faire de plus menaçant et d'aquatique (genre ambiance à la FNF crépusculaire) rhytmée par les coups de batterie de Jason Duffy (seule partie live). Contrairement à Dublin, Sharon ne jouera pas une partie au violon... La foule est tellement folle qu'Andrea nous lancera dés son entrée un retentissant "bonjour Pariiiis" qui achevera de faire exploser la fosse...
Puis profitant de la confusion, Baby Be Brave se transforme brusquement en Humdrum... Comme à Dublin choc car j'adore Baby Be Brave et à chaque fois ça m'agace qu'ils ne la chantent pas mais pour en revenir à Humdrum chanson méchante façon INLYA la foule se met dés le début à battre la cadence et dés le premier solo de violon, Sharon se fait acclamer....!^__^ et que la foule et se mains l'accompagnent... Andrea déjà bien haut dans le ciel sautille de partout et s'amuse à nous percer les oreilles de sa flûte :-) en guise de conclusion!
Puis sans transition c'est Only When I sleep saluée par une immense clameure de la foule qui a élévé cette chanson au rang de classique... L'occasion de vérifier après Humdrum qu'Andrea par rapport à 2000 a profondément travaillé sa voix et monte maintenant sans pb dans les aigus alors qu'avant nous avions le droit à une accumulation de fausses notes ^^;;;;;; It's only when I sleeeeeeeeeeep!!!!!! Portée par le public Sharon n'aura jamais joué aussi bien ses solos...
Moment de flottement avec une intro complètement remaniée de Dreams qui ne la rend reconnaissable qu'au violon et entraine les "Aaaaah" de la foule! Durant les solos les gradins commencent à imiter la fosse en tapant des mains et pieds mais ce n'est pas suffisant pour que je me lève sans déclencher les foudres de mes voisins -________- mais bon m'en fiche je chante par coeur depuis le début :-) et puisque le vigil est parti je dégaine mon appareil de paparazzi !^^ mais au risque de contredire Same les mienes sont toutes flous j'en ai piqué deux significatives des surdouées de la fosse!^^;;;;
Puis p'tit speech de la miss en français tout mignon teinté d'accent irlandais ce qui entraine à nouveau une erruption "ooooO,oooO" de la foule forçant Andrea à se taire, la pauvre nous ayant demandé comment on allait alors nous on répond "bieeeeeeen!". Elle ne nous a pas oublié et nous dit qu'elle est aux anges de retrouver le Zénith mais maintenant elle doit continuer en anglais... :p tout d'un coup la foule la coupe et tout le public lui lance "Merci Andrea, Merci Andrea!" celle ci nous stoppe et nous dit "Non c'est moi, MERCIIII!" trop sympa et mignon puis elle nous souhaite d'avoir du bon temps (dans le texte^^)...^______^
What can I do le public applaudit une autre de ses favorites et la miss repart dans ses sauts de cabri de plus belle allant harcelé Jim qui fait semblant d'être trèèès concentré sur sa gratte^^;; Pour nous amuser la chanson est régulièrement interrompue le temps pour Andrea de nous désigner de la main dans les refrains que le public reprend, particulièrement sur les "love me, love me " de la fin :-)... Apothéose finale avec une nouvelle orchestration et solo de deux minute de guittare électronique par Anto Drennan ^^ et Andrea à genoux sur la scène tandis que les rangs de la fosse dansent.
Forgiven Not Forgotten immense acclamation là aussi (ce morseau est considéré par les puristes comme étant la déclaration du dogme corrsien mélange pop/celtique) même si le morceau est amputée de son intro Erin Shore. Le morceau gagne en ardeur avec le rôle d'appoint de Caro au Boadran que sa grossesse a chassé de son rôle de batteuse... Force est de constater qu'Andrea s'est également améliorée à la flûte et ne fait même plus de fausses notes en cascade...Roooh, j'suis déçue! ç______ç. De timides avant guardistes se crament les mains avec leurs briquets^^ Et pour changer des cris à la gloire de "Sharon" fusent ^^
Puis sur les ailes d'Angel les gradins se lachent enfin, on se lève timidement (enfin pas moi j'ai déjà shooté dans l'enregistreur deux fois puis je suis entrée dans le mode danse dont la chorégraphie craint carrément il faut le dire^__^ ^^) et on saute alors que la fosse entame une séance de jumping et écrasage de pieds à en faire palir Skippy le gentil kangourou des plaines australiennes ^________^signe du statut particulier de cette chanson tirée de leur dernier album et qui renoue avec les tendances celtico-rock du groupe obtient une ovation digne des classiques.... Andrea déchainée enchaine les sauts et les moments à capella et reverse dans le "yeaaaaaaah" jubilatoire et creveur d timpans!^^
Puis le moment clé du concert vient sans que l'on n'y prenne garde annoncée par une ligne très calme de piano inconnu, le violon déchire l'air et c'est Runaway, la foule pousse un long gemissement, Andrea commence à chanter puis s'arrète dés la seconde phrase se rendant compte que l'on connait les paroles par coeur et nous laisse sa chanson, émue elle enlève l'oreillette et reste immobile et gentillement nous répond à "I'm not alone, tell me you feel it too" I do tandis que Sharon et Caro échangent des regards incrédules ce qui restera pour moi un des plus beaux moments de ce concert où la communion entre un artiste et son public est omniprésente...Puis non sans fierté j'vois qu'on est devenu bon nous aussi on tient parfaitement comme des pros les "Yeaaah, yeaah"... battement de deux minutes des pieds à la fin de la chanson :-) mais que de frissons.....^_________^
Pour nous calmer, Sharon vient sur le devant de la scène et commence à nous interpréter Lunasa (aôut en gaélique) languissante, triste et douce instrumentale comme autant de jours de pluie où le soleil n'est jamais loin... Caro descend avec son boadran à la main... puis pour nous sortir de la torpeur Sharon change soudainement de rhytme et entame Joy of life là pas moyen je vois Olivia et je me mets debout, tant pis pour les voisins!^__^ mais le feu est parti et tous le gradins sont debout alors j'commence ma p'tite chorégraphie qui laisserra mes pieds 3 min en apesanteur !
Pour descendre de ce p'tit bout de paradis, Caro descend de son piedestal avce une très grosse caisse africaine et bat les premieres mesures de Borrowed Heaven tandis qu'Andrea renonce à faire son discours habittuel en nous expliquant qu'on a très bien décodé tout seul comme des grands: "seizing the moment" (carpe diem). Et pour nous remercier, Andrea qui enlevera ses chaussures argentées à talons car pour sauter that's all but practical!^^ nous invitera pour la première fois de la tournée faire les choeurs sur le solo de Sharon ^___________^ "coz you're singing so good"!
Sharon prend alors la place d'Andrea qui nous quitte sur un "so special" et nous lance un "c'est magnifique" et essaie de nous expliquer qu'elle et Caro vont reprendre suite aux pétitions lancées sur le net leur duo "No Frontiers" mais devant les salve nourrie d'applaudissement elle renobnce et se met à l'ouvrage et à la grande surprise des deux discrètes chanteuses, le public scande aussi bien le nom de l'une et l'autre (de par le passé c'était plutôt Caro qui recevait les compliments) et on fait les choeurs avec elles, moment de recueillement intense (sauf quand je m'entend now chantée faux dessus!)
L'ambiance est mise et définitivement installé et Andrea pète un cable sur la reprise des Stones Ruby Tuesday, tandis que le public s'écorche la voix sur le refrain et devient une troisième source de percussions!^^
Alors que les premières notes de Long Night s'échappent, je comprends avec tristesse que ce soir il n'y aura pas de pas When the Stars go blue mais j'm'console tant j'adore Long Night une de mes préférées du nouvel album avec Baby Be Brave, calme ballade pour nous reposer, dotée d'une atmosphère des plus intimistes et dramatiques que Sharon fera voler en morceau d'un coup d'archet acéré.
Pour continuer cette séquence coeur brisé, les Corrs nous offre la version unplugged de Radio qui a l'effet détonnant de me remettre debout sans que le sache mais tanpis pour les voisins!^^ et au solo de violon de Sharon je suis au bord de larmes.
Mais bon vu que la prochaine qui retentit c'est Hideway le mouchoir est rangé d'office :-) vu que selon le plan terrible des forumiens on doit hurler comme des malades sur le refrain ce n'est pas le moment! so "don't hiiiiiiiiidewaaaaaaaaaaaaaaaaay" ce qui nous vaut un "You're the most amazing audience of the European world!" d'Andrea... ...
L'humeur festive continue avec Summer Sunshine là aussi comme à Dublin sans que je comprenne pourquoi tant je n'aime pas cette chanson ^^;;; le public des gradins se met debout et y restera et tout d'un coup on est "the heat of Summer Sunshine et on crève de chaud!^^ et on saute et on saute... et pour marquer ce jour d'une pierre blanche Andrea demande à Jim d'enlever ses lunettes^^; ...
On s'arrête plus car après c'est So Young et on s'époumonne sur les "Yeah, yeah" et on n'a jamais autant frappé dans nos mains Jim n'a même pas besoin de nous demander^^; Andrea toujours d'excellent humeur nous provoque et nous adresse un "bright and lazy on this rainyday"-aulieu de sunny ^^,-et l'invasion de confettis commencent, les Corrs un peu inquiets nous regardent faire et comprennent que le public parisien et un peu maboul de se ballancer des sacs de confettis sur la tête^^;
La fièvre continue de se répandre sur I Never Loved You anyway où la foule brandit le point à tout va et autre bonne surprise les Corrs ont repris ce morceau pour présenter les muscisiens^^
La dernière chanson bien nommée Goodbye très Coldplay dans l'inspiration mais qui est dix fois mieux en live que sur l'album et dans une jolie mise en scène les Corrs et les muscisiens quittent un par un la scène ^_____^ Jim se la joue en restant le dernier à éffleurer nonchanalement son piano ^__^
Lors du rappel, le public s'enflamme essayant de préparer le terrain pour unsecond rappel que nous obtiendrons pas malgré tout -_______-
Puis la lumière se rallume et la salle est au bord de l'insurrection et mes cordes vocales de l'extinction quand les "Go on , Go on" de Breathless percent, on a du rajouter une douziane de ligne de Go on sur cette chanson...
Puis la vraie heure d'adieu est venue avec la traditionnelle Toss the feathers mais la gaffe qui ne venait pas vient quand le violon de Sharon, mortifiée, et que la première minute de la chanson se fait sas elle! Cela laisse le temps à qqn de balncer un sac de confettis à Jim pour qu'il en asperge ses soeurs ce qu'il fera sur Caro et sa grosse caisse et de surprise la p'tite en perdra une de ses baguettes^______^
Et alors que le groupe salue un publique euphorique, Andrea dérogeant à se habitudes nous lance "à bientôt à Bercy, I can't wait!" et nous offre un salue de trois minutes...
Puis brusquement la lumière se rallume et poufff casse l'ambiance complètement -__________- sans compter que notre ami le vigilenous pousse manu-militari vers la sortie alors qu'Albi pousse vers les coulisses (j'étais PTDR sur ce coup là quand même^^;) , on échoue sur les stands (remarquez comme la manoeuvre du vigile était réfléchie!) où Mathilde m'offre à ma grande confusion un T Shirt (j'serai aussi belle que Peg à la prochaine réunion :pppp)...
Puis étouffant on sort et comme le veut la tradition Olivia et moi on achète un poster pirate, un pour chaque concert!^________^tout ébaudis on retrouve madame le chauffeur au café puis des étoiles plein les yeux, les oreilles tuées on rentre au bercail non sans babysitter le portable d'Olivia!^^
A la maison, je m'assois en étât de choc, ils l'ont fait, on y a participé, on a battu le 4 novembre, les étrangers nous comparent à Lansdowne Road, la référence, le concert mythique devant 50 000 personnes ^_______^, sur le forum on s'autocongratule, on a quand même mis le feu, hé!^^
Andrea still a bit in Heaven et qui sera la seule à aller au bout de la lecture de ce post qui doit rendre ce concert très ennuyeux tout un coup -________- ^^;;;;;;

samedi 10 juillet 2004

Borrowed Heaven Tour: Zenith 10 juillet veni, vidi, vici...

Pfooooooooooouuuuuuu........que dire hormis un merci ?

Merci aux Corrs, aux internautes du forum francophone pour avoir allumé le feu dans la fosse, brasier qui s'est emparé par la suite des gradins..., à Albi pour sa magnifique idée pullaire^^, à Olivia pour avoir dansé (euh on va appeller ça comme ça hein ^^) avec moi (et vlan pour les voisins trop bougons et casseurs d'extase!) puis à Mathilde pour son truc en bleu (j'suis parée pour l'été moi maintenant ^______^)

J'en révais depuis le 4 septembre 2000, le 28 juin à Dublin fut une mise en bouche et tout d'un coup la chimère devient réalité... Après une heure de tea time direction les grilles et après qques oeillades et mensonges (non m'sieur bien sur que je n'avais pas d'appareil photo ni de magnéto d'ailleurs^^;;; )le zénith nous ouvre à nouveau ses portes... une demi heure de marchandage dans les gradins pour tuer le temps (et aussi parce que j'ai géré très bizarrement la billieterie de la FNAC^^;; ) et ö miracle (thanks topiiine!) le premier rang assis...

Et autre bonne surprise une première partie -Rénée Olsten- de concert tout à fait talentueuse pour qui aime le jazz and blues...et tandis que les lumières s'éteignent l'es fauves de la fosse exécutent leur plan démoniaque: comment survivre à des vagues de Olas et des cris de sioux "Corrs! Corrs! Andreaaaaa" puis ça fait plaisir de savoir qu'on est pas la seule fanatique !^^....

Puis les lumières s'éteignent et le show commence...là encore que de souvenirs que je (nous ?) partagerai (ons) plus tard tant les oreilles, la voix, les bras, et les petits petons crient grâce mais surtout que de gratitude pour les Stephane, le Boub' et autre Doyle et Jessika 2001 pour tous ceux qui ontr allumé les briquets, lancé des confettis (et Caro et Jim sur ce coup là ont été grandioses!), se sont levés comme un seul homme, sautant en l'air et tembourinant des pieds et des mains, brandissant drapeaux et ballons irlandais.. Pas étonnant que grâce à vous on detienne maintenant le titre de la meilleure audience du "Borrowed Heaven Tour"!^^ (et toc vlan pour les Deutschies ^^)...

Alors même si l'absence de jolies étoiles bleues ou d'une troisième instru se font sentir (raah à Bercy ils ont interet à assurer de ce coté là^^!) et bien ce concert a largement surpassé son prédecesseur déjà genialissime...

Andrea qui rend l'antenne et qui s'excuse pour ces manip' téléphoniques foireuses (raah j'avais la poisse pas à dire -________- désolée 'Ry j'espère que tu ne m'en veux pas trop) et puis pour plus tard description de la setlist, pictures voire mp3 et Dublin un jour maybe...si jamais un p'tit malin a réussi là où j'ai un son tout pourrave (mais homemade donc je me plains pas!!!)

ps : il y a pas que Mu qui a le monopole des posts nocturnes et pogotteurs ^^ (bon ok les Corrs c'est pas ça mais bon on va pas tatillonner ^^;;; )

pps : pour AJM ils nous ont joué Ruby Tuesday ^________^

Andrea in "Borrowed Heaven!"